26 août 2014

BERNARD DADIE CANDIDAT AU PRIX NOBEL DE LITTERATURE


         
           l’Etat de Côte d’Ivoire, à travers son ministère de la Culture , a décidé de présenter, au Prix Nobel de littérature, la candidature du doyen des écrivains ivoiriens, Bernard B. Dadié.
             L’auteur de « Climbié », de « Monsieur Tôgôgnini » et de « le pagne noir » sera également célébré sur deux ans par le gouvernement à travers l’organisation en novembre prochain d’un centenaire dédié à sa personne. Tous nos vœux de réussite  accompagnent cette icône de la littérature ivoirienne dont les œuvres ont été étudiées par plusieurs générations d’écoliers ivoiriens et africains.
           Dadié répond également d’une activité politique intense marquée par son militantisme au sein du RDA. Voici une anecdote que ce contemporain hors norme raconte souvent au sujet de la colonisation :
              « Toute la direction du RDA était recherchée. Pourtant, nous ne nous cachions pas. On était presque tous ensemble quand ils nous ont trouvés. Ils nous ont brandi leurs fusils et nous ont demandé si nous étions armés. J’ai crié que oui. Haut et fort. Ils se sont prudemment avancés vers moi. Mais, ils ont eu un mouvement de recul quand j’ai mis la main à la poche. Doucement, de ma poche, j’ai sorti un stylo que je leur ai exhibé au nez. Un stylo. »
                Honneur au doyen Bernard Binlin Dadié !

22 avr. 2014

SOULAGER LA SOUFFRANCE DE NOS FEMMES : UNE MACHINE POUR PILER DÉSORMAIS LE FOUTOU




           "FOUFOUMIX" est un petit robot de cuisine, inventé pour faciliter la préparation du foutou et la rendre accessible partout dans le monde.

          Obtenu à partir des tubercules d’ignames, du taro, du manioc et/ou de la banane plantain, le foutou est l’un plat les plus prisés dans la sous région ouest-africaine. On le retrouve également dans les hôtels, les restaurants et les bars.

          Le foutou s’obtient en pilant les tubercules dans un mortier à l’aide de pillons. Malheureusement Le pilage du foutou outre son caractère fastidieux et corvéable, présente d’énormes contraintes liées au bruit du mortier que certaines personnes ne supportent pas, à l’hygiène qui est difficile à garantir car cette activité attire les mouches, fait transpirer et expose le menu à la poussière. On ne peut ainsi pas se permettre de faire du foutou la nuit sans risquer des troubles de voisinage. Il est tout aussi difficile d’avoir du foutou en bonne quantité pour servir un grand nombre de personnes.

          Grâce à la Machine à Foutou, on peut consommer son plat préféré à toute heure du jour ou de la nuit sans déranger ses voisins. On peut avoir du foutou en quantité voulue, à moindre coût et dans des conditions d’hygiène adéquates.
                                                                                                                      Source: All info centre


29 mars 2014

10 TRUCS POUR EVITER LES AGRESSIONS DANS UN TAXI





          L’insuffisance des transports publics à Abidjan nous emmène tous les jours à nous tourner vers d’autres moyens moins conventionnels pour nos déplacements. Ainsi, Gbaka, Wôrô-wôrô, véhicules banalisés et autres taxis sont devenus notre lot quotidien. Malheureusement nous sommes devenus la proie facile de chauffeurs et autres « apprentis » qui se sentent aujourd’hui en position de force dans le milieu du transport. Quand on ne vous insulte pas copieusement pour une simple question de monnaie, on met votre vie en danger par une conduite aussi approximative que hasardeuse. L’éssentiel, est de faire « la recette du jour », entend on souvent dire dans ce milieu. Même au prix de nos vies.
          Mais le risque le plus grand dans les transports en commun, ce sont incontestablement les agressions . Devant ce nouveau phénomène, seule la solidarité entre usagers pourra nous sauver. Aussi avons-nous décidé de partager dans ce post certains reflexes que nous avons développés de nos habitudes des tranports en commun. 10 précautions valent mieux qu’une, dit-on.
          NB : ces conseils ne vous garantissent pas une sécurité à 100% mais visent à
         réduire les risques d’agression. En tout état de cause, ne cédez surtout
         pas à la paranoïa. Les transporteurs ne sont pas tous des agresseurs.

1) Prenez les taxi inter-communaux (Wôrô-wôrô) toujours dans une gare : les chauffeurs se  
     connaissent dans ces espaces ; vous avez moins de risque de tomber sur des agresseurs.

2) Relevez le numéro d’immatriculation du véhicule chaque fois que vous le pouvez et
     envoyez le par sms ou par une application de tracking (gratuit sur internet) a un parent
     ou ami. Faites-le au vu et au su du chauffeur. Savoir que son véhicule est identifié pourrait
     réduire les ardeurs du chauffeur si il avait de mauvaises intentions.

3) Avec les Wôrô-wôrô, c’est le chauffeur qui doit vous dire où il va et pas l’inverse. Un 
    chauffeur qui ne se reproche rien est toujours le premier à décliner sa destination pour 
     gagner du temps. Il ne perd pas son temps à vous demander votre destination de façon 
     insistante.

4) Evitez si vous le pouvez les véhicules (modèles Bafana ou Eto’o) dont le coffre 
     communique directement avec l’intérieur du véhicule C’est souvent dans ce type de coffre
     que se cache le complice du chauffeur-agresseur.

5) Avant de monter, regardez autour de vous pour vous assurer que vous n’êtes pas suivi.

6) Une fois à bord, si vous êtes seule, assoyez-vous derrière le chauffeur. Il est ainsi en 
     position de faiblesse.

7) Gardez votre sac fermé et tenez-le sur vos genoux. Vos pièces d’identité doivent en 
     revanche être gardées dans une poche de votre tenue ainsi qu’une carte de personnes à 
     contacter en cas d’urgence. La vitre doit être suffisamment levée pour éviter les vols à la 
     tire.

8) Ne jamais arrêter un taxi à la sortie de la banque ou d’une agence de transfert d’argent
     (Western union, Orange money…)

9) Evitez d’emprunter le même trajet, tous les jours et à la même heure car vous devenez
     ainsi remarquable et vos habitudes facilitent la tâche à vos agresseurs.

10) Evitez également d’emprunter des véhicules juste devant votre porte ou de vous faire
       descendre jusque devant votre porte. Ramener un chauffeur inconnu chez sois chaque 
       jour favorise aussi les attaques de domicile.

10 mars 2014

Un bébé prénommé Drogba...



Didier Drogba nous présente Doruk Drogba.

        Les supporters ne savent plus quoi inventer pour rendre hommage à leurs champions préférés. Et ce n'est pas ce bébé turc présenté par Didier Drogba sur son compte Instagram, qui dira le contraire puisque ses parents l'ont prénommé...Drogba! Ou plutôt Doruk Drogba, en hommage au footballeur star du Galatasaray.

        Un geste que Didier Drogba a visiblement apprécié si l'on en juge le message plein d'humour et d'affection qui accompagnait la photo :

        "Bonjour à tous, je m'appelle Doruk Drogba. J'ai trois mois et je suis une superstar!! Mes parents m'ont appelé comme mon fan numéro un... Didier Drogba. Regardez comme il a l'air heureux et chanceux de me tenir dans ses bras. J'ai réussi à le faire sourire et je parie qu'il me trouve très mignon!!!! Affectueusement, Doruk Drogba"